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Page:Bonnellier - Nostradamus, 1833, tome 2.djvu/294

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Ce n’étoit pas le sommeil, c’étoit la mort.

— J’étois bien jeune, lorsque j’ai entendu dire sur moi ces paroles : Prise trop tôt laissée, disoit la veuve de François II, en faisant ses adieux au cadavre de son époux.

Un des ensevelisseurs, étant à embaumer le corps, examina avec soin la fistule que le roi enfant avoit à l’oreille ; il distingua des parcelles d’une poudre rouge, en partie dissoute au foyer de la tumeur.