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Scène III
PAUL, GYRINE, arrivant par la droite.
GYRINE
Voici Néapolis.
PAUL, gaiment.
Merci, Gyrine !
GYRINE
Maître,
Souffrez-vous ?
PAUL
Presque plus.
GYRINE
Vos blessures…
PAUL
Peut-être ;
Les bourreaux sont méchants et les coups sont malsains ;
Mais l’air pur guérit mieux que tous les médecins !
— Je ne vois pas Faustus encore…
GYRINE
Sois tranquille,
Lydie et Mégara le mènent vers la ville
Par un autre chemin.
PAUL
Bien.
GYRINE
Maintenant, voici
Le vaisseau qui vous doit emporter loin d’ici.
PAUL
Bien ; est-il à Lydie ?