Aller au contenu

Page:Botrel - Chansons de route, 1915.djvu/38

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

I


Sur la route de Louvain, (bis)
Devant Lièg’ Guillaum’s'en vint, (bis)

Là, dix-sept jours, (bis)
s’battit les flancs : (bis)
bis


Il en resta comm’deux ronds d’flan !

chœur Flan, flan, flan.
Flan, flan, flan…
II


Sur la route de Paris, (bis)
L’mois suivant, qu’est’-c’-qu’il a pris ? (bis)

Il a pris d’Joffre   (bis)
deux uppercuts : (bis)
bis


Dans l’occiput et l’Fon d’ son Kluck.

chœur Kluck, kluck, kluck,
Kluck, kluck, kluck…
III


Sur la route de Nancy (bis)
Il cria : « Nancy, c’coup-ci, (bis)

« Cette bataille (bis)
« faut qu’tu la perdes ! » (bis)
bis


L’Grand-Couronné répondit : Mange !

chœur Mange, mange, mange,
Mange, mange, mange !…