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VII
Retiens ben ce que je te dis :
Celle à qui tu donnas, jadis,
L’anneau d’argent des accordailles
Sera fidèle à votre amour,
Et t’espérera jusqu’au jour
Des épousailles !
VIII
Sans adieu, mon petit Yvon !
Je dicte ces mots, qui s’en vont
Sonner ben doux à ton oreille,
À ta cousine Lénaïk,
Et je signe : Veuve Rouzik,
Ta pauvre vieille ! »