Après avoir passé le temps nécessaire à lire l’écrivain que vous allez entendre, mon âme était oppressée… c’était une asphyxie spirituelle… Je sortais des anti-chambres de l’enfer… d’une atmosphère viciée, méphytique… Oh ! comme je recherchais et j’appréciais alors l’atmosphère de la Parole de Dieu ! la lecture des saints oracles… de ces Écritures divinement inspirées pour rendre ce témoignage à Jésus, qu’il est Dieu par-dessus toutes choses, béni éternellement ! Et comme je recevais avec reconnaissance les influences bénies du Seigneur l’Esprit… rendant aussi témoignage de Jésus à mon cœur, à ma conscience, à mon entendement, à mon être tout entier. Puisse le même Esprit maintenant « resplendir dans tous vos cœurs, » et les garder dans sa pleine lumière, — la connaissance de la gloire de Dieu en la face de Jésus-Christ ! Vous pourrez alors, sans danger, apprendre comment on traite cette mystérieuse et adorable Personne en qui « la plénitude de la divinité habitait corporellement. » — Écoutez, — mais prenez garde à cette bave du Renan de l’orthodoxie[1].
- ↑ Voici les titres des traités que je vais citer :
Observations on a tract entitled the sufferings of Christ as seth fort in a Lecture on Psalm VI, considered by B. W. Newton. (Plymouth, Tract Dépôt.)
tées… ne suffit pas, lorsqu’il est question de savoir si les traités de M. Newton renferment ces doctrines.
J’apprécie beaucoup « la prudence du serpent, » pourvu qu’elle soit unie « à la simplicité de la colombe. »