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Page:Bouchor - Les Poëmes de l’amour et de la mer, 1876.djvu/175

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XXV.

PRINTEMPS TRISTE

Le bruit de la mer désolée,
Adouci, semble un chant là-bas,
Lorsque marchant à petits pas
Tu parais au fond de l’allée…

N’est-ce pas que tout est divin,
La brise triste qui murmure,
La silencieuse nature
Et les étoiles d’argent fin ?