Page:Bouchor - Les Poëmes de l’amour et de la mer, 1876.djvu/177

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Le rire du printemps vermeil
Ne fera jamais que j’oublie
La profonde mélancolie
Du pâle et maladif soleil

Que, de nos fenêtres bien closes,
Tandis que tu dormais encor,
Je voyais, comme un globe d’or
Rouler le long des houles roses.