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Page:Bouchor - Les Poëmes de l’amour et de la mer, 1876.djvu/30

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Et moi, songeur devant eux
Et cherchant à les comprendre,
Jamais je ne pourrais rendre
Le mystère de tes yeux ;

Car leur cruelle ironie
Qui brille et sourit sans fin
Se mêle au charme divin
D’une tendresse infinie.