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Page:Bouchor - Les Poëmes de l’amour et de la mer, 1876.djvu/49

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C’est — je le gagerais, moi qui rôde alentour —
L’amour, le fol amour et l’éternel amour !
Car je sens sur mon front passer une caresse.

Et toi, pure dans l’ombre où tu vas sommeiller,
Tu poses tes cheveux nattés sur l’oreiller,
Et dans ton petit lit tu pleures de tendresse.