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Page:Boufflers - L’Heureux Accident, 1808.djvu/28

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vré ses forces et ses idées, s’asseoit sur ce tronc couvert de mousse et de lierre, elle s’y trouve beaucoup mieux qu’elle ne s’y était attendue, et de-là elle applaudit avec complaisance à la prudence, au zèle, à l’adresse de son nouveau serviteur.

Cependant la petite calèche est relevée d’un coup d’épaule ; les chevaux empêtrés dans leurs traits sont dégagés malgré leurs sauts et leurs ruades ; les guides entortillées et brisées sont remises en état, l’équipage est prêt. M. Lambert est sur le