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Page:Boufflers - L’Heureux Accident, 1808.djvu/47

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à ce qui inquiète, et ce qui plaît d’abord, à ce qu’on aime toujours. Si on examinait de près ses qualités, on voyait des vertus ; si on lui cherchait des défauts, on ne trouvait que des grâces ; enfin, sous quelque point de vue qu’on pût l’envisager, il y avait de quoi tourner toutes les têtes d’un Aréopage. Voilà comme ils étaient tous les deux ; du reste, presque également initiés à toutes les connaissances agréables, pas un sujet ne leur était étranger, pas un mot n’était indifférent ; on