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Page:Boufflers - L’Heureux Accident, 1808.djvu/53

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qu’enfin vous rencontrez, vous acceptez, vous avez une amie, faites-vous connaître à elle. Montagne dit qu’on n’a rien de caché pour un ami, une amie aurait-elle moins de droits ? — Qui sait ? dit M. Lambert. Mais enfin puisque vous le voulez, j’oserai vous parler de moi ; je ne vous cacherai que les noms de lieux et de personnes qui pourraient vous mettre à portée de découvrir ou de pénétrer quelques mystères qu’il ne me serait pas permis de vous révéler. — Des secrets pour moi,