IV
Assez de rois et d’empereurs !
Sur une enclume toute neuve,
Pour les chevaux des laboureurs
Je forge un fer à toute épreuve.
Comme eux, j’ai blanchi sous le faix ;
Mais mon marteau connaît la danse.
Ohé ! compagnons ! pour la paix !
Forgeons ! forgeons l’indépendance !
Ohé ! Ohé ! les maréchaux,
Battons les fers tant qu’ils sont chauds !