Page:Boulenger – Au Pays de Sylvie, 1904.djvu/149

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Lorsque je croisai à la chasse suivante le terrible éleveur, je le saluai très respectueusement, en vérité. Je ne saurais m’empêcher de rendre les plus grands honneurs aux entêtés qui nourrissent de sérieuses, de longues, de divines rancunes.