Page:Boulenger – Au Pays de Sylvie, 1904.djvu/250

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rêver, et la chasse du Roi pour une flânerie d’écoliers.

Et j’eus bien du mal encore à empêcher que le bruit de sa mort ne vînt troubler la curée, qu’on donna aux chiens devant Sa Majesté, en grande pompe, comme il convient. Je dus prier M. le Duc qu’il renvoyât d’urgence au château le carrosse où Mademoiselle sa sœur, en apprenant la nouvelle, faillit elle-même trépasser, m’a-t-on dit.

Le cinquième d’août, nous courûmes un daguet portant son refait…