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quatre[1] ; M. le vicomte de Spoelberch de Lovenjoul, vingt-deux[2]. D’autre part, MM. Pierre Louÿs et Louis Loviot ont bien voulu me communiquer un certain nombre d’autographes très intéressants qui leur appartiennent. Le reste de la correspondance est conservé, ainsi que les manuscrits de Mme Desbordes-Valmore, à la Bibliothèque de la ville de Douai. En somme, j’ai pu consulter pour cette étude près de cinq cents lettres inédites, outre les quatre cents lettres imprimées de Marceline. Mais il m’a paru inutile de le marquer à chaque page, et un peu trop pompeux d’écrire, à la suite de presque tous les fragments cités, le petit mot magique : « inédit »[3].

  1. La Jeunesse de Mme Desbordes-Valmore, d’après des documents nouveaux, suivie de lettres inédites de Mme Deshordes-Valmore. (Paris, Calmann-Lévy, 1898, in-12.)
  2. Sainte-Beuve inconnu. (Paris, Plon, 1901, in-12.)
  3. Les chiffres qui accompagnent les citations des vers de Marceline renvoient à l’édition de ses Œuvres poétiques qu’a donnée M. Lacaussade, chez Lemerre, en 1886-1887 (8 vol. in-16), Mais cette réimpression ne comprend que des morceaux choisis, et il m’a fallu renvoyer parfois aux éditions originales.