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MARCELINE DESBORDES-VALMORE

Au revoir, jamais adicu !, la Fiancée du Marin, la Jeune châtelaine, Jenny, la Prière de Laure, Vous le saurez, la Fleur renvoyée, le Rêve du Mousse, Jone et Sophie, le Bon Hermite, Dors, ma Mère, l’Orage : Délire où je me plonge Fuyez, jaloux mensonge… Celle qui ne rit pas : Iloureuses pastourelles Qui cherchez sous l’ormeau Des lits de fleurs nouvelles… Une Reine :

Un barde a vu sa reine fugitive… Le Troubadour en voyage : Avec la gente mie

Où vas-tu, troubadour ? Etc., etc.

Hélas ! d’avoir tant composé de ces petits poèmes sentimentaux que nos grand’mères soupiraient avec énormément d’âme, Mae Desbordes-Valmore en est restée à