Page:Boullault - Le fantôme vivant, ou Les Napolitains, 1801.djvu/191

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

voulons par nos soins, notre amour, vous faire oublier la vengeance du cruel Lorédo.

On s’empressa de célébrer un mariage qui rappela la joie et le bonheur près d’Adelina et de Mainfredi ; on n’oublia pas d’y inviter la nièce de madame Dorsini, qui se consola de voir son mariage encore reculé de quelque tems. Les parens d’Adelina, qui s’étaient brouillés avec Mainfredi, se réconcilièrent avec lui, et rétablirent sa fortune dont le jeu l’avait dépouillé. Ainsi le retour à la vertu, aux mœurs, fut celui de l’ordre et du bonheur.