Page:Bouquet, Martin - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 7.djvu/11

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tt’ »i PRMFATIO. M Antulc* Bniâni. r :, v f t8 % t ;,11 pog. 3HÔ. In posteriori hujtts Fragmenti parte rjusr al te ri us Aurions

  • iw vuh’tttr, causa et origo me–monitur

i lit us’ celeberrimi dissitlii quod Dolrnsem Ecclrsiam à Turo.nenst p< r t nient os et ampliù^annos Mpa ravit. •u^ ..4 nnalts qui Bcrtiniani nu antur mm qaod h IJertiniano Mariai fut wripti cd tjulxl in hoc Morunft no repertt surit plures lial>t m ton s jant constat apuil ornnc. rmlitos. De tribus prioribus istor mu .-fnntdium partibus jarn egifnr/y lomo w i fo pa<f. |>2. De <<’̃> fn>(i t mrthn timc ab anrn> N/i<> ti^jitt ,nl itnnum HKl mm e.rtitrlunt nurtt </< :< fidi/ni. ( ùtn H ’"̃̃< <̃ uy frthiip. Item, in Epi–stuln ! I ^slonrm .Sinon, .trehiep. iju.i htm i ) I niuilihies Prtttlt ntii riiif’f, iju :r totn/rm rerbr. Icifurttm •>> I niii !thit licrtimanis liinc -1’1- i on’, lit rlifwimu. v .</> Henry v ;,11 · H nrttin lyfornm innalium partis ah ati’it ui/i<tf S’( tuant ad annnni S(>l 1 tiuttinm esse Pnitirntium n li.jnii n n> tribuit Hinenutnt ihI euipiiim i.i i ju aniteis. (y)uitti <piitli rn w nti ni m ni viri doi tissi/ni 1)1). Il.tijtu </t l,i lia va lie rc et Ialuuf htm Uintiitn ainplcxi surit set/ etiinn m riptt.y banc ’in retti pteuliarilw. /)/% scrtationif’us ex styli et tn^tmi ii rt tsitate de f entière conati yu/if itarrt<juc l nnalmm parti m /ii/mtio ni t imam wrie Hincrnar o a<lt ri pst riint

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nii ohsturtt gravis difficultn > nitjiu enirn uildtiei possuni ut tmbntt l’rui/i nttiirn tpum (,otln w a !» <> ’it risse tewtatnr ipse Ilincrnarns loin pra eitato ea scripstKi, <jji,e </< (totbt un/eo Icifitntur in l h’nihl’ii <• Ihrtinuinis ad an. .Si’). ( uni hant <ft f fit ultatem ape– ancien Livre du Monastère de saint Serjçe d’Angers. Dans la seconde partie de ce Fragment laquelle paroît être d’un autre Auteur, on rapporte le célèbre diflerend (jui a séparé pendant plus de trois cens ans l’Eglise de Dole de celle de Tours. IV. Les Annales vde saint Bcrtin qu^i appelle ainsi n,ôn pas parce qu’elles ont été composées par un Moine de saint Berlin ruais parce quVlles ont été trouvées dans ce Monastère ne sont |>as d’un même Auteur connue en conviennent tous les Sa va us. iVous avons déjà parlé des trois premières |>arties de ces Annales dans notre Tome sixième à la page 1*.»2 |>arlons présentement des deux dernières <jui vont depuis H’Mi jus(jiki S82. Comme llincmar Archevnjue de Meiins dans sa lettre à Egiloii Archev. tle Sens rap|>orte des Annjjles do Prudence certaines eboses (|u>m lit mot a mot dans les Annales do stiut Bertin l’illustre Ahlx* Fleury eu inien’ que Prudence est KAuteur d’une jKutie de ces Annales c’est-àdire depuis S ;H» jusqu’à Ht» 1 pour te reste il l’a t tri hue à Hincmar ou à <|iicl(|truii A’ ses amis. IX* très habiles gens, tels que’. MM. l’Evèque de la Baaliere et l^beuf non-seulement ont embrassé ce sentiment, mais encore ont tâché de l’appuier sur la diversité du stvle et du génie ayant fait expies sur cela des Dissertations et ont attribué à Prudence cette partie des Vimales, et là dernierç à Hino mar. s Je se roi s volontiers de leur avis si je n’étois .arrêté par une grande dilïiculte car je ne saurois me persuader (jîie. Prudence (jui lavorisoit Gothescalc comme Hincmar le dit lui rnèmêmedans l’endroit que je viens de citer, ait écrit ce qu’on lit de Gothescalc dans les Annales de saint Bertin à l’an 8l*J. Aiant découvert ma difficulté