Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 10.djvu/26

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de nos Koia consacré, de Utct le Jeudi Saint les pieds à douxe pauvres, et de les sertir à table arec le* Princes et fa» Grands du Royaume : 7» que du teins du Roi Robert les ctocues avoient déjà des noms, et que dam leur lïe^ietion, appeUée dès-lors baptême on employoit déjà l’huile et le Chrême 8* que le Monastère de Fleuri étoit traité de Chef de tout l’ordre Monastique, à cause de la possession du corps de S. Benoît 9* nous découvrons peut-être l’origine du pouvoir que les Rois de France ont de j u toucher les écrouëlles au moins. ne 1 voyons-nous aucun vestige de cette I prérogative avant te xi siècle ; 10° de < ces mots d’Helgaud, Rol*rt dgé de t saura fit r ans attendait la mort sans la i craindre, nous recueillons que «je Roi c étoit né en 970 ou 971 1,1° -entin t des guerres du Roi Henri, dont Hel- s s gaud touche un mot a la fin <le son Ouvrage, nous concluons avec I). ç Rivet que cet Historien u’écrivoit f cju^après 1042. 9 Régis Henrici bellis, quorum meminit Hel^ mus çurn Hivetu, hune Auctorem ’scripsisse V. Au sujet de cet Lcrivairi voyez la Note pag. 118. Quoique la Chro- «  nique de Ditmar mule prest|iie toute n entière sur PHistoire d’Allemagne, L cependant nous avons cru être en droit si d’en donner plusieurs extraits. Car ™ braque cet Auteur très au fait des choses qu’il rapporte, consigne à la m IKKstérité par écrit les mœurs de la Cher- st. manie, ses usages et ses coutumes, /h ses loix civiles et ses maximes d’Etat rc il nous "préjKirc en quelque Ihcoa la ut voie a une plus ample coûuoissauce ne de lias propres aflkires. Qui ne sçait, in en Jeilêt que dans ces tems il y avoit se Ix-aucoup i|c œnvenanœ et de.rap-’ bu jH>rt entre la uiauicn- de vivre ou d’à- ~tie gir de Fuue et l’autre nation ? Si dans co in ligne directe personne ne se trouve di- Uni gne <rt’trc cteiv à cette dignité (de RoPj

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  • S mm&ui 7* Umport Roberti 1

île Régis Homitta ctmpanis jam ttmc te fuisse imposita mtenon benedicut tiomm ipsarum bapùsmi nomin* «- éonatam ; et in eadem benedicUS tioœ oieum et Chrisma fuisse adalubiu » : g* F/oriaecuse MonasUie rium Caput totius ordinis Mo- 1 le nastici vocari ob passessienem cor* te paris & Bemdicti ;& deprehente dimus originem J or son prrroga1e ’tivx, qua strumosis valere gaufa dent Francorum Reges. Hujus ’P il certè nullum, quod sçiamus^vesn tigium wcurrit ante undecitnum s nul u m 10* coUigimus ex fais n HetgnMi verbis sexagenartus • ft opperiebat morleiii intrepidus it Rol>ertus nativitatem hujtïs liegis référendum esse ad annum 970 vel 971 .• 11*» denîque ex P. Helgiildus in fine Ope fis concludisisse nonnin postSannum 1042. z F. &e Scriptohe hoc vide JVotant pag. 118. Etsi àutem Ger- e£ e manica passim litteris mandet Ditmartts, atlamen m tilt a cjc ipt s tus Citeonico à i no/us execrpcn’da r esse merito du.fi m us. Dui/i enim S peritissimus eorum qux narrât t mores Germanise usus et con- ̃ suetudines instituta chu lia et politictis rationes seripta pitsteris relinquit gradum vetuti faeit ad uberiorem rcrum Franeicarum notifiant. Etenint qul net rit i inter utriusque natmnis ’vttitndi seu agendi modum hù iempefibtts nmgnam fuisse conveni&t"ttam et conjttnctionem J> Si in *«  coiisanguinitatis iinea aliquis tali { regio ) l ofticio digiuxs non iuveniatur, ait ivrlu gratia Dit-