Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 10.djvu/30

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PRjEFATIO. xxv lornc .X. J ’"v ’"̃ u mi -vuofnar, ,7-7,1 /r,7, < ahsquc pcnd d et d’une prudence peu ’commune. Or de ces paroles d’Aldebert quelques-uns < prétendront une les François ne tenoient pas de la pure libéralité des i Rois leurs droits, leurs dignités, leurs j 4 biens ; et d’autres concluront’ seule- i ment que ces teins étoient fort pro- t près à rendre les trâiéfices ou fiefs de nature à être héréditaires si ils ne Té- r, toient pas encore ; plusieurs enfin in- n léreront que les dignités4 des Comtes’ r et des autres Seigneurs’ devinrent de q plus en plus héréditaires au coiiiuiencément du règne de la troisième race ri 3° lorsqu’on voit les Princes faire en- h semble des traités jM>ur le -maintien fi de là justice, et s’engager par serment q{ a conserver la paix, que les François gt appelèrent depuis la trce de DiJu il est aisé 4c juger de l’étendue du Av mal ou de |a maladie par le remède. n, Cette remarque doit pareillement aoir llien dans (ilabcr <>L dans daulres Aifleurs : i" quelqu’un (NMirroit t peut-être /«  eonelure avec raison d’un endroit » d’.Vdemar, qu’il y aoit alors eu l’Yan- ,,t( ce des Doeteuis qui sntoicut l’Ile- an breu 5" nous ajtpercevous qu»n erai- fn) guoit 1 dès-lo’rs une guerre suinte, et six que les bruits eu rtoient déjà répnu- ,-t dus (i" nous louons la religion des po jK-uples de ce tems-ia qui du moins qui eu Aquitaine-, assistuieul au olliees ,,is de la nuit, non-seulcmenl comme /un le ik’iise Valois dans ses .Notes sur le <ld x PcH-iiic d’Adalberon ,• aux têtes de et Pàqne et de Aoel mais même mi^W Dimanehe de Crème. ovo/ une dv^Turr nos :NoUs pag. 177 7" dans (iau/lin 7" Archevêque <Je liour-t > exigeant de 1 ’l’argent pour riihjîo.siliiMi des mains, poù nous déplorons un usage jkivcis <hi ),<> xi. siècle 8" des paroles dWdemar, Vu, nous inférons que le nombre drs I< :ie<- nmc leurs è.u Allemagne, que quelques-uns (h fit prètendenl avoir été -fixé par Olhon JUc III. u’étoit pas encore limite :r Guil- tittit laiiiiM» Duc d’Aquitaine, auroit estimé, <iam Niins doute, j.lus que ne le dil Adeinar, n-^m Ê w uni "*> »V 147. ’fl- ’inr (fui ¡ l’ag. |5i ’lUS »V l."»4. i’a^. i ;>.

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le. Or opus futrunt. Ex hù autem Mtes-uns deberti i>erbis quidam coliigent ae te- Franaxs non à ntera Regum lité des bcralilate sua jura suas dignileurs tates, sua bona tendisse alti seule- vero dun taxât concludent h«c ̃ pro- tempora prodUsse valdè opporefs de tuna Ivnefieiiy’scu fendis in hoc ne Te- natura conit attendis quà si in in- nondum talia exst tissent fue-Ollites reditaria essent h firent déni-Ht de que nonnnUi, ineuni* tertio stiriilienpis imperio, Cornhum et aliorace : rttm dignitates magis ac magis V en- hier éditai- tas e va susse 3" du m intien fodus ineunt simul Principes, v^, ( nient q,lo srse snj, sacramento comtnn_nçois gunt, servaturos paeem et justilieii tiam, quum r F ranci postai Trendu gain seu trevtam Dei appvlla- »^le. runt ; r.v rcmedttt malurn sn,

»u»ir morbum Ixetor facile potest inteiAlfligere

quod paritvr notandum ext -t’tre in Glahro pag. il», (f alibi ih-Oït /|" r,v Advmari /oro qui* forsan vran- nicrit ;t ro//if,t ..(f j a/i(JfWK (//nr Ht> apud nos fuisse Doctores qui v,R. i ; ’"l’ai- luhrcuvr «cirent .V" Advertunus cl sparso< jam lîclii sacri rumvres [>an- rt mi.tm < laudanms r,lides gioncm illius temporis hominum i-aK r, oins < .»•«/̃ |"W y/quitania nnctjirliées /> ;•» mtenrant non u>ime lian, ut putat J alesun in ,>ti* in r le .idalbervnis (arnun Pu*cl,iV de <>/ .Xatiritatix Dotnini diebus im^scd etiam Ouadragcsinne Durnide //iVyi ,r. /y, Xotam ptii ;. 177 Zlin 7" ,7, Cnuzlno .Irchuptsropo de Ilituricensi, p,-euniam pn> p^. | us, positione numuum requin nie <

perrrrsunt ste-nli nsunj ,-onni 

querunur tf> ,[,̃ .fdemari rrrhu ec- conchutimns needum urtnn, <w ms dtjinitum f tusse IJntorum in ,0(, OU JHcmania nnmerum en jus insn~ titutionem Otl,,>ni trihwn( dam nonnulli ro/unt <J» honorent U regni ftulici m’ tant ahsquc pei-