Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 10.djvu/58

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"C.y`&`~aY ~` f ;ws~ h~. v~sM x^n~q. ’f"a y~, a~ <7~ t~ ’} ~z ~·~i, ~t~, Y L o ~N{ ; x~~ ;il~y tr’~ {’rt ~3,IM’A. kr ; ~rw~,d f.. ,°~wr , :y.Y~Ft7 .swv.. ·’ ’i y 1 a rel~.j a ..t .·e~ t ’,«~ d_Sm~·- x bx W .n^ ~-s·i :~it v ,S ~~W ,,b. 5x~ .7t :3. À "+~t~ .4 r $ ~· N b. ’ ?~.· Y’ L. x.r ~s,. I~~W .e.z’ I" ! .h,iAML~ w _x, r~ >k "x.t v >r .x, u.r ~ :r·- « »i lors ; «t cepemknt U rot décoré <É «  titre a* 1017. D’ailleurs /qiiand Robert s* rendit à Rome ; il voit en sa puissance k viUe de Sens, dont reotaé © étoit libre à la Reine Constance, que nous lisons s^y être retirée «tcc aon fils Hugues, encore en&nt Or la ville de Sens vint au pouvoir du Roi en 1015. Le (ommenoement de répiabopat de Thimi cTOrieans, et* l’âge ; de Hugues, qui fut couronné n’ayant encore que dix ans peuvent aussi servir à d’autres pour trouver Té*poque du voyage, de Robert. Du reste" il paroit que la dévotion fut le seul motif qui porta ce Prince à aller à Rome ; à moins que quelqu’un ne croye qu’il s’y rendit dans le dessein d’obtenir du Pape Benoît, de pouvoir reprendre Berte, qu’il n’avoit quittée qu’à regret ; et que ce fut de concert que Berte suivit Robert dans ce voyage. L. Abbon donne au Pape les titres de Sainteté, de Révérence et de Majesté, te même en adressant la parole aux Princes, les appelle Sérénùsimes. Or Gerbert, qui pag. 424 donne a une Reine la qualité d’Auguste, paroît à D. Rivet être le premier, ou au moins un des premiers Ecrivains qui a usé de cette dernière manière < de s’exprimer. Il semble aussi, selon le même D. Rivet, qu’on doive à j Gerbert t’expression de Très -Saint i P ?re qu’on emploie en parlant au t Pape. La Lettre d’Abbon a Léon i Abfcé Romain ainsi que celle au Pape^&régoire, foit assez connoître j i que les Romains étoient alors dans la | persuasion que le^rr^o^ S, Benoît, i après avoir été transporté*dans les Gau- j les, étoit gardé à Fleuri. Au i endroit nous croyons devoir wmar>^43 quer soigneusement des vestiges de m Cizelure, lesquels étoient alors très- t rares ; si cependant ceux-ci sont des q (5. Ablkmm Abb. Plortar. Rpirtol* r Par. 437 r r ) ’i£ ̃^̃n^w*î ,>* j’iP’’ wmB|i mw ht min* &tlKy^t :J^yi^ ̃9 teindê càm Amsm pntftctw est t ftobtrtm, m «ju* pouutot* «m ` T Scnotwm èêwtm, ad auam *£a tm 00F erat Constatai» Repnm e qtm in tam sêuuisse legitur cnm I Hugo** filio adkuc ptrvulo urhs i vero Semmum m fiegù potestat tem venit anno 1015. Temput ejusdem ùùwis colligi etiam pol test à quibusdam à* inUio Pùn1 tificatds Theodorid Aurclianeni su JSpùcopi, §t ex mtate Hugoni*, qui : adbuc decennis coro-I natUS est. Ceterùm sola orationi* causa Romam adiûse videtur t Rex nisi quis puttt «rf factum eo

?; animo, ut Bertam, quam mgrè 

dimiserat, per Benedictum Papam resumere sibi ticeret et ex eondicto Bcrtam hoc in itinert Robertum subsecutam fuisse. L. IVominibus Sanctitatis v Reveren&e et Majestatis />«- JJ^J pam appelât Abbo. Idem Prii* cipes cum alloquitur, eos vocét Sereuissimos cujus quidem lo~ p^ quendi Jormulm auctor a ut unus saltem ex primis auctor U> us Biveto nostro vùjetur Gcrbtrtus qui pag. 424 Reginam nominat Augustam. f^oces isUe ad Papam, Beatissime Piater, eodem Riveto judice -vident ur pariter in Gerbert um tanquam in auctoÀ rem re/undendm. Ex Epistpta Abbonis ad Ltoneth Abbatcm Romanum ut ex ipsa ad Gregorium Papam, satis intettigitur,t tune Romanis persuasum fuisse, S. Benedicti corpus $4 GaUias translatum Floriaci ^yosservatum fuisse. Ibidem sudulo notanda ducimus si tamen smtuli x sunt Cmlaturm vestigta que rara admotfum pmc apport-