Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 10.djvu/64

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hij ij Tous coururent ~itmenl ae cacher dans Noies en passant qujbn étoifc$V> dans une ignorance cniàse de PAstroapwûe- 4* D. JÛvet Ut Fulbert au lieu de Foulques dans la Lettre 18% et inféré des mots mon Seigneur, que Fulbert était d’Aquitaine, et mèuie du Poitou. Mais cette Lettre, comme l’observe M. de Fouceiuagne, ne parolt pas être de Fuibert*lequel auroit écrit plus correctement et plus élégamment. 11 est évident au même endroit, que les Italiens ou Lombards «n’eurent recours à ’Guillaumc, qu’après avoir été refusés par le Roi Robert. Bien plus, si l’Auteur de la o Chronique de Cambrai ne se trompe pas de nom, outre Guillaume Duc d’Aquitaine, Eudes comte de Champagne j) eut des vues sur le Royaume d’Italie, où il vouloit se rendre. 5Q Dans la 20* Lettre le Comte Eudes mande au Roi Robert qu’il a été averti par le Cou île Richard, vassal du Roi de Venir à justioe ou à concorde au sujet des griefs que le Roi avoit contre lui et que pour cela h jour et le lieu, du’ consentement du Roiy lui ont été marqués par Richard qu’ira rendu maître de toute cette cause. Mais Richard disait qu’il m lui ~coni~Pnoit pas de présenter Eudes à un tel jugement sans l’assemblée des Pairs. Il faut remarquer au même endroit, que. des bénéfices ou fiefs qui n’étoieut pas du domaine du Roi y sou^dits héréditaires et à cause de la naissance de l’héritier, et par ta grâce du Roi. 6° Lorsque nous lisous dans la Lettre d’Odolric à. Fulbert qu’il étoit question de faire Roi celui des fils de Robert qui étoit le meilleur, ne voyons-nous pas assez clairement qu’il n’étoit pas* encore de droit incontestable en France, que rainé des fils du Roi succédât sans aucune difficulté au thrône de son père ? Certainement la loi Salique n’a voit point encore toute sa vigueur parmi nous Car c’est ce que prouvent, dans la même Lettre, les vœux du pere pour le couronnement de son fils It -v 9~p_~t~ F ^e u ;k, ~i · 4~q ,y C’ ’4TI04~ u ~’>1" ,.< ~a ,~iC~o¡~’ I t J Pi«, 501. Hi Intérim nota mpud komines supins, mmjfaùs* tu*c Âttromomim içnons mûAm* V #t Bpkt. 18 Rive- f*. a îe. tus msterpnt Fuk» iegit Fulberd- tua, et es vçcHms henis.mpus es colligit Fuibertum ftàmiéf* lit Uuw*r> imb H Pictavemsem. /V~ lis rum, ta observât 0. de Foncede magne, km Epistota non videtur il- esse Fulbert* qui emendatiùs et/ «- elegantzus scripsisset. ibidem lint quet Italos seu Lomgobardos ad >u Guillelmum non conf agisse nisi U- potquàm passi sunt repûlsam à oi Robecto Aege. Imb si Auctor ta CAronici. Càmerac. non ’errvL^jn pe nomine, t non modo fVdUlmus A- Aquitanim Dux t sed etiam Odo ne Campaniensis Cornes de régna e Italix adeundo cogitavit. 5° In Pif. i Î0* Epist 20 Odo Cornes ad Roberioi tum Regem. scribit t se a Comité ite Richardo fideli Régis, moniu" tum fuisse venire ad justitiaiu ue aut concordiain de querclis qùas habebat /lex contra ipw»_ sum ; sibique ex consensu Régis f*« à Rwhardoy in cujus ItianilS tOais tain hanc causant niisit consti*os tutiuu fuisse Placitum quando ms et ubt ïwfc perlici posset*. Itiler chardus au te m dicebat sibi non ou couipetere, ut ad tale judicium du exhiberct se Odo sine cou v en tu ise Pari u in. iXotandum ibidem beta neficia seu femia qute non erant IIS de Jltco Régis hereditaria diri l’il et ob heredis genus et per graîls tiatn Regis. 6* Dum ex fitiis Roue berti melior in Regem sublimanl’il dus dicitur in Epist. Odolrici ad ta- Fuibertum^ nonne sat clarc in01 nuit ur nondum tune apud Gidpùlos jus inconeussum obtiàuisse a- ut sine ulla controversia in patertrinum soiium natu- major filiorum U- Régis succedëret ? Aorulum certè lu lex Sal ica perfecle adoléverat in. lis Francia. Id enim probant ibidem