Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 11.djvu/200

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PRjEFATIO.

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paille, et à en opposer le fer aux » ponerr > quod nolnli ruidom vainqueurs le fils d’un Seigneur Niverncnû juveni hostcm acriù.t du Nivernois s’enterra dans la lance insequenti pemieiem attulit. d’un ennemi qu’il poursuivoit avec

trop d’ardeur.

Les prisonniers se rachetoient liello capti magno prctin rrpar de fortes rançons. Guillaume dimehantur. Si fuies Ademnra V, Duc d’Aquitaine, donna aux Cahanensi If’itlirhhus Dur ^ioriuaris une somme immense d’or sfqnttanue « ununiqnemque ho- r >.•< n et d’arpent pour celle des Nobles »""< pensa vit arpenta ,t sic 5 qu’ils avoient faits prisonniers de » redemit omnes » qui capti furguerre. Il en coûta Tours et ses dé- rant « Nvrmannis. In pretium pendances au Comte Thibaut, et la libcrtatis l’hrobaldi Comitis /’«Saiutouge au Duc d’Aquitaine pris ronia 1 Ducis .quîtnni ;v .San- n 1 par GeoflVoi-Marlel Comte d’An- tonia Cnufrido-Martcllo victari jou le Duc n’en fut pas même quit- dntse sunt. Coriùs etiam conttitit te pour cette Province. On dé]>ouil- lil>crtas .quitiinùr Ducis cuju< la los l’élises de sou Duché, pour redimendi causa ali<|uaiilulinii ’•’ payer la somme exigée par le vain- expoliala fuisse Moua>leria narqtinir. On peut remarquer en pas- rutnr in CAmnico Mn/lcuccnsi. saut l’usage de faire contribuer les Hic obiter notari potest l <i^ullo> assaux à la rançon de leur Sei- olim ad Domini capti yi pntium ^neur quand il étoit fait prisonnier, redentptionis solrcndum .»/»̃ p<(iuillauine le Bâtard en usa j,’e"n« ;- <Hs ct>ntribui>sc. I.ibcnditcr .v, rciiseinent à l’égard des François gcssit cr^à l-’rancos in pntliu ml après la bataille de Mortemer. Il Mortuum-Marc captai (iuillcl- ,,u :tn rendit les prisonniers en leur fai- Xotf>u* qui nihil aliml ah saut .seulement payer leurs dépens ’̃’̃’ exegit nisi impeu-arum <nmsur le pied <le di besans par jour pt’nwtioncm nempi’ />n> niiuipi,<|K)iir tes Comtes, six pour IcslBa- <juc dir à Cutnitibu* <lcc, m />>̃ |K)iir les Comtes, six pour IcslBa- que dir à Cutnitibu* <lcc, m Ai. roiis, (juafn- pour les chevaliers, ’•* Harouibu* <.c.r, ,) m’/iet il(U pour lo l’euvers. tibut quatuor, ,-t à <cutanr> n/ i-, arrni^i ris duos lanlinu.

lue manière singulière de se ren- ̃ Oui ad cm, ma n-dacti i ’̃ .1 la merci du vainqueur, cou- d,bant .w rictari ̃.i>tebant m/ [, ’|M1 sislcut a .se piésuiter à lui vu che- pedibus u>I,i s,<l>ucuLi r.^nti, 1J* "•i>e. iiiuls pieds, et une selle sur < phipptumtpi- <lnru, ,̃ ,,n, ̃ If dus ; eest ainsi qu’en usèrent le tes. Sic se mesure n, ri Sn-neiir de Belleme à l’e-ard du m«v AY/m /,w- Hn-,> <̃<I)’ Robert. Hugues, Comte de lanensis ,t (minai, s M,t,ih,, Cli,.l(.n-Mir-Saone assie-V- par li- r ;i rt rut, IU,berturu uim,,ncliiir.1. Mis de Bieh. ||, rl ( ;uf_ pltr,lflt nltiuu,ium lit>i-Iartel a IV-aid d«- s,,n père lUdatrdi jihum ,t I fuie, m 1«hiI.|u«’s .Neira car telle étoit .rrram. l ictari m ri, t,, r il ln|t|M-e dit |a Clinmiquf vphippiau, hh,tu .qmi, n-MniM -ut,. ,| Normandie qu’un licuissc u^crit lu,t,,i’ < 1 "̃̃ de.anji, ,r rcnd,t, une selle c .»/ nnnnnm.e. W" • ’̃ s«n raim/uenr A

’’̃•>•< f"it lui pl,,iM,it.