Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 11.djvu/237

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ccxxxij PRjEFATJO. i> Regulares à nobis superiùs commémorât i in Monasteriis administrât ion i suie corn miss is slbbatcs communi Do ni i nom m Patronorumque consensu constituebant. Alias successor consentientibits Monachis, à priccleces.wre designabatur. Qttod spectat ad csetera bénéficia lièges nominahnnt ad S. Martini Ttironensis Thcsaurariam et ad S. Cornclii Compendiensis Pr/e/msititram quant ejusdent KccU’SÎH’ Clericali Collcgio r» largittts est Ihnricu.t Hex anno u IOi8. S. Hilarii Pictaviensis T/irsaurariam conferebant qmxjue XVI. ^iDe Moribus, et de quibnsdam Consuctudiuibus civilibus. /r anarchid ignorantici et xnperstitionc nata ntorttnt corntfitela r/u& nniversos ordines infecerat. Plurimi i tune teinporis nptid ( lertun grassabantur abusas, ed prtrctpuè simonia, enntinentur Icgts contemptus et ntilitaris prttfcssionis sttit/iu/n. Milititr dedttos l’.piscopos enrpit Fnlbcrtus in t’fiistold ad Ililitegariant /lis rcrhts. « Oiuvris (/nid sentiant » de F.piscopii tjui spretii Fccleua.ti< ;r paris tranrpiUlitnlc se» dttmnes ijnirrtint, bel la scetnn 1 tnr saut’ netpiu<juàni tindio illos « hptsropos nominatif ne re/i<̃ ifttiu) narnini injuriant Jaiiam. » ’l vrannos potiùs apptllabo i/ui l’ellicix occnpati negotiis, inttlto » iiputi lotus milite, solidarios >̃ /iretto londut tint nt nnllos .«  ridi firmes mit Principes no<• rcrtm ndcii instructas billotum • leçtbus, tolam armonttn discĩ phnain in procinetu mi/iti.e scr’• rare, d insère turtnas, ordines 1 cotnponcre etc. • Fulconem linhiant ̃nsem graviter ipiooi/c /̃<̃-Tuin. «0. /< Ï09. etc. thid. /•10 T,.m II. le HC T"in. Il» p. 119. n, S / !̃•̃/ r 4T !t dont nous avons parlé, établis»^ «  quelquefois, de concert avec U 9 Seigneurs et les Patrons, des Ab- I bés dans les Monasteres qui 1^ I étoient confies d’autres fois m I Abbé désigpoit t sou successeur da ̃ consentement de la Communauté/ 1 Quant aux autres bénéfices /le$ ̃ Rois noinmoicnt à la Trésorerie de I S. Martin de Tours et à la Prévôté I de’ S. Corneille de Complexe que 1 Henri 1 laissa ensuite à la disposition 1 de la Communauté. Les DucsCd’A- ̃ quitiiine nommoient aussi les Ttë- fl soriers de S. Hilaire <le Poitiers. Duces .iquitanitv. fl Des Mœurs et de quelques Usages fl civils. ifl Aucun Ordre de l’Etat n’étoit .alors/ I à l’abri de la corruption que fimMv. I soient l’anarchie, la superstition et ̃ l’ignorance. On reproehoit au Cler- fl j ?é la .simonie riucoiitiiieuce et l’in- fl clination jkhii le métier des armes. fl Fulbert, dans une de ses lettres à Hil- ̃ défaire, lait une vive |>eiiiturc.de ̃ ces Prélat guerriers qu’il représente ̃ coiiime soudovans des troupes, cn- fl tourés de soldats, et plus habiles ̃ <|u’aucuu Général de leur teins dans H l’ait «les exercices et des évolutions ̃ militaires eu sa go Prélat les regarde ̃ plutôt CDiiiiiio des ivraus que com- ̃ •nie des Eèque.s, et il dit qu’il (T01’ ̃ roit profaner ce non) res|>octol)le ̃ s’il ra|)|)lii|uoil à des j K’rstnines si ̃ peu digues de le porter Gerbcrt ̃ réprouve le .prétexte de laiiv la I guerre même pour recouvrer l<* H biens de l’i^lise et il condamne ̃ tes voies de l’ait dans un Evôjuf ̃ qui a toujours la ressource des ̃ qui a toujours a Il :’>>( voies de droit. Celles-là étoient ̃ cejM’iidant communes et u M* il numens en lournissent mille exeni- /̃ pies. < >u pourra remar.juer que ̃ pics, C hl 1’°11 na 1’1’111,11’111 : l’t’