Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 11.djvu/767

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DES ROIS CE FRANCE.

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• • lte.la Bibliothèque du.Roi Ht. iy*. 567. A pb ES le dit Robert Henry son «fils commença à régner’ eh l’an MXXX Le dit Roy Henry ot de Anne sa femme fille George le Sclavon Rov c’est assavoir Philippe, Robert et Hue le Grant. La dite Anne fonda S Vfol cent a StnHs. Ou temps du dit Henry, Robert Ghichart, dit Normant de Normandie conqwist Puille, Calabre et l’isle de Sesille en l’an MLVll fe ^WMI de son règne. Il fonda à Paris l’Eglise de S..Martin des Champs, ^eKj mit pour y servir Dieu Clers et Prestres séculiers. Il regna XXX aas /et rtkxenterré à S. Denis. Y

et t~’lIterr(’ à 1 ~nts. ’-b

Apr^4e dit Henry (*) Philippe son fils le premier du nom commença à régner >tf^Roy de France en l’an MLXI et ot à femme Berthe fille de R m loin Cointe de Holande, seur de Roln-rt Comte de Flandres. Il en ot ung fils nommé^Loys le Gros, qui fut Roy après ly. Il acheta la cité de’ Bourges et la Conrt^de Gastinois. Il print par force et occupa la Comté de eiiguosin. Il fist fafi^ Je ehastel de Montmeliant contre Hue.Comte narornartin qui estoit son adversaire* ! Ou tems du Roy Philippe pn l’an MhXXVH commença l’ordre de G>nntmorït. L’an MLXXX fut commencée l’Eglise de S. Sauveur en l’Eglise quist appellée. cxponit illud, i’hœbum adamaste Leunthem, dkk Iteum adamamc, etc. Or voici ce que le P. Har»douin ix-n«- de ce passage « C’est un lissa de rfaussettjfe et de |Miros visions (jue cet Xaitnr r* débile ii-i Car depuis l’Einp. Philippe jusqu’il » Roi Philippe* I on ,na sratiroil trouver dira » l’Histoire même la pluV^«£^b.ii trust- une seule » |>rrsoniiç distinguée qui ait eu le nom de » Philip|ie Ot Ingiilphi1 rst un fourbe qui «  » trahit liii-iiinnr iontqu’i ! dit que le roTibme de Franco est le royaume &ts Phiitpjirt » rar il insinue jiar cette expression que lt1* Roâ » rt’f,’nans tiroient leur origine il’un Pliilipjx «t » <|u’il y cil avmi d<ja plusieurs de ce noi»-li, » i|uoi(ju il y donne un autre sens i. 1-a criticpje du I’. Hardouin est certainement trop ou-Iree, et nous ne l’adoptons pa* nous remarquons seulement (jue rêrudilKui d In^ulphe manque ici de justesse.

’a) dite Chronique va jusqu’au Roi Charles VI ne continu elle rien de fort iroporX tant (Kiiir les premiers reines Je la troisième rate de nos Itois

’A ; l u Auteur nommé In^ulphe, qui se dit contein|«ir.iin de ces deux Roi«. et qui a lait une Histoire tlont nous avons donné un extrait. rap|mrte qu un certain Xirainniairien disoit. que Dhu affi<li(iiinoit pariii ulirremrnt la piété du royaume de France c’cM à-dire du royaume’ surnomme îles PhilipjM’s pane que plusieurs y an.iiiit le nom de l’h iii(.|«- si lHen <pic le Itôi Henri qui r, -ne à prévnt. (lit-il a fait donner le nom de Philip|n’ à «m fils aîné £/ forte leuca iliitm ,i Iruct’/i, t/wii m .t thira itngua inter/irrt. itut Pl,il,j,iit unde UiifiiMrr m Itajngic <ui hb. ’,i, < et mt-eut l.eucon. du U tU hum- lca,<m fuioe PMlip puni lmprr fiit ni.fu- </r.f/ i/<tu< e<l, ^uia C/>ri,tumut i ri b,i/iti"n» -iiper nttm Et alu< in locoubi SUITE fl DU MIROIR HISTOIUAL.

Ms. 1 4G de la Bibliothèque de S. Germain-des-Pret. APRisIa mort du Roy Rol>ert son fils Henry régna après luy, nonobs- | t.mt (jue la Royne Constance sa niere héoit -icelluv Ileïiry, et voulloit couronner Robert te Duc de Rourgongne, le moyen des trois frères. II"sieures villes et chasteaulx saisist, et s’alia au Conte de Chamjwigne, et » pillait-tirs aiiltrts Princes |K)iir estre en son ayde mais Henry t|tii esti»t a»pre clwvalior et courageux, assembla grant ost et fist tant par armes et par force, ’qu’il abbatist l’orgueil de sa niere, et en chassa tous ceux qui estoient contic luy, par l’a) do que luy fist Richard Duc de Normandie ut Manger le Ointe de Corlieu son oncle. Ce Roy Henry esj>oiisa la iuqxf «k (a) (*• qui précède, «e troinr imprime à la pi^e 314 du X« Volumt de cette Collection, où nom »’«» Jwini une notice du Uvre Ils. ainsi intitulé.