additis. Insert um huic Volumini Fragmentum historien qutedam in provinciis Pict. et And. régnante Henrico I, facta complectitur. r Volume contient quelques faits relatifs à l’Histoire de Poitou et H d’Anjou, sous le règne de Henri I. ̃ f.Wl llisttn m/n ijiicrnintltnn l.i i li ̃̃>(̃ J’ttr<ii ;tirutr>M,i< l’r.i Miluiii. in f :/nt<im< n siripturn i iti’/it I .al’l’dis. (Jik m rusftniin. luihir rii/ttnr r//v</ /c m II M’rii/i llcruiiSi i Ùrn rj’it •̃itum m/ miuiiiii inijln 1 I S 2 I ̃ i !i riili rit Hnhts in !mr t.Kirntti ^̃ii ijii<itni>r I pi.u njntriitn, i .1 jttihin (iiml<hi ili ( mi i/ii/im o- LXXIV. Mylta suprà in
?" nn. x et XXXIX diximus
de Çhronicis Andcgavensibus quorum istud S. Albim y AuctoMt ignotif aliud non videtur e7r rn Epitoma operis Iiainaldi S ̃uricii Archuliaconi nrc11 •gavensis Scholastici amo
t in an no Christi 10™5. i.riruruiir Andegf : vensia dicta il fornm vrrore ijui 1 aria Auct oi 14 m se ri/i ta coltcgerunt, vcl libruiiornm imperitià, nio.iinil- permista hahernus et confusa. jXonnu/li tumvn distingmtntur, (jui scculo XI ̃ scripserunt quorum lucubrationibus sua po.itcrtorrs a<l–(1ère non dnbitarunt. Ornncs quittent paueis vcrhis re com/ileetuntur, unno.t’jne nui/lus eontin’uos silentto prtetrrmittunt sed ce contrit seriptts imdtnni iitihlatis aurait .-fni/i n’cnsi Hi.stori ;r vi.Kiitc iuiifini .e/tttis oceuriitto–in ( lu "oint ii repenas Iliee edtderiiut I nlihi us m noi liil>l 1/si. it Martin, in .Inifilis*. (<> Po.tt Imtratuni r icriter Hiiuiri I rr’xniuti, in minus Jjhilippi 1 plurimti i. ii m rit diihtin hic ( /ini/uii S. ,111’iw traduit ntnni Vul.in que nous donnons ici. parcourf le le-ne de Menu I. et s’étend 1 mu plusieurs années de eelui de Philippe |. copie de D. Mabili. mais nous avons ̃ soin d’ajouter les variantes que ̃ nous plaçons aux marges infé- H rieures. L’Extrait inséré dans ce H LXXIV. Nous avons déjà beaucoup parlé des Chroniques d’Anjou aux nn. X et XXXIX. Celle de S. Aubin dont nous ne connaissons pas l’Auteur, n’est qu’un extrait de celle de Rainaud Archidiacre de l’Eglise de S. Maurice et Scholastique d’Angers. Toutes deux finissent en 1075. Les Chroniques dites d’Anjou ont été confondues les unes avec les autres, soit parce que ce ne sont que dus compilations de plusieurs ouvrages de cette nature, soit par la faille des Copistes. Dans ce chaos d’Ecrivains, on en remarque quelques-uns du onzième siècle ; d’autres, qui ont vécu postérieurenit’iit se sont crus en droit d’y faire des additions a U-ur manière. Quoiqu’ils soient tous tort suçants et qu’ils laissent souvent plusieurs années de suite, sans y rapporter r aucun l’ait ; leurs écrits sont très-intéressants- pour l’Histoire d* jou : il existe peu de Chroniques plus évades pour ce temps-là. Elles ont été publiées par le 1’. Labbe dans sa non. liihliol. des Mss. et pari). Martene il ; ns sa grande Coll. l’ ;i partie de la Chronique de S. LW. Le I». L-,bbe a publié un Abrège historique de quelques l’.véques île l’i-ri^ueuv. Nous n’eu eonnoissons point l’Auteur ; on peut seulement ju-iT qu’il mnoiI sur la lin du XII1’ surle puisqu’il a eolldlllt SO11 our ;i-f jusqu’à r ;ni S2. Le iv ;£inriit que nous en donnons, eontienl l’histoire de qualie luques •1 un desquels nomme Ciraud de
