Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 20.djvu/31

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

’ l’HÉFACK.

.1, ,̃< r.rii<ln>i nrélimmaires sont des l 

I es derniers articles préliminaires sont des tables non alphabétiques ei mr conséquent fort différentes do elles qui terminent chaque volume. A pariir ,1m XII’ les tables préliminaires ont été réduites a deux, dont lune est mntulée ̃ Syltahu* aurlorum et mnnumcntnrum l’autre .SYnV.s o/nni5 flrnffm ihslrummfrrun, muv ,mmm descnbunlur elles annoncent tons les livre», tous les opuscules toutes 1rs pièce» que le vollimc doit contenir ; mais dans les onze n’en, .s tomes, elles étaient precédéed’un tableau chronologique retraçant i.1 h- (il des événements, avec des rendis «nx relations originales ou ils al|ai(ut Tire dérrils. Il est permis de regretlV que les Bénédictins aient interrompu ce irnvail dans lequel on eût pui>é les éléments d’un abrégé chro1H1|H,ur plus exact et plus complet -qtie celui qui a obtenu un s. grand s,,urs (’.«-pendant nous n’avons commencé de remédiera celte omission, dans I, s préliminaires du tome XIX. que par un essai fort imparfait qui ne pouvait prendre ni l ;i même étendue ni tes mêmes formes que ces premiers tableaux et qui ne correspond qu’aux deux règnes de Philippe-Auguste e ; de I omis Vllï II reste une lacune de cent vingt ans depuis 1060 jusquen 1 180, plutôt même de jofio à laaG. On parviendrait à la combler tout entière, à prolonger relie chronologie jusqu’en i.V.»8, en distribuant les deux cent su.xu.le-lunl ans entre les cinq ou six volumes qui vont suivre. insi. |in «l’altérer le plan primilif de la collection, nous proposons de le r.-iablir de le suivre plus fidèlement qu’on ne l’a l’ail quelquefois depuis la mort de don. Bouquet en 1 7 f > ’t jusqu’à l’époque où llrial fut chargé par Uns,ltllt (|c reprendre ce travail, Ilouqur, lui-même avait, à ce qu il nous a sem|,| 1,-op mo.c.-le les matières, et ses premiers continuateurs ont adopte quelques autres di>j>MMlions qui netaie.il peut-être pas plus heureuses. Le p.rcueil n’en a pas moins mérité, acquis, conserve en l’rance et chez les naIm.h.s ,hau-res l’olune «les p.-es les plus éclairés ; et si la saine critique, si |, xp. 11. T poma.l conseiller en elle ! d’çn modifier les méthodes, ce ne secomme nous venons de l’exposer, qu’à l’égard de cerlams détails qui ne vont pas a beaucoup près les plus importants. Il faudra déjà hier, assez de traxauv pour rendre la dixième série «ligne en tout point des neuf précédentes on aurait assurément bien moins de peine à imaginer quelque autre plan qui se présenterait avec le double avantage de paraître moins vulgaire, et de ne pas Vxiurr lanl de soins et de .cherches. Il est toujours plus aisé de laire autrement que de mieux faire ; et quelquefois même les irrégularités qui ont coûte le moins d ellorts deviennent les plus surs moyens de succès. Dès qu’une fois il est comenu M.i’mml à une époque de rénovation ou de transition, les routes éprouvées .loivenl passer pour <les ornières, l’exarlitude pour servilité, toute déviation pour une méthode, toute aberration pour un progrès, toute hypothèse gratuite poiirunernMiu.il. Mais le travail dont nous venons d’entretenir l’Académie 11 est pas d’un ordre assez, élevé pour que ces théories transcendantes lui soient applicables il doit par sa nature même échapper à de pareils perfectionnements. Nous n’avons donc que deux propositions à présenter comme résultats du rapport que nous terminons l’une tend à ce que l’Académie élise deux ou hos de ses membres qu’elle chargera d’entreprendre et de publier une collection «les historiens «les croisades ; t’autre. à ce que deux autres de ses membres soient «lus par elle pour continuer le Recueil des historiens de France par une dixième série, qui ne comprendra point tes historiens spéciaux des croisades, mais qui embrassera les cent deux années écoulées depuis l’avènement de saint Louis jusqu’à celui dt* Philippe NAIDET de Valois. DAINOI", rapporteur, .NAtDI~T.DAtNOr.rappo~H~. ·