Page:Bourdeille - Œuvres complètes, 10.djvu/508

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d’Anne de Bretagne, ainsi que le maréchal d’Estrées qui raconte leurs espiègleries à Brantôme, 32-33 ; amitié de la reine Anne pour lui et sa sœur Louise ; tombeau, dans l’église des Cordeliers, de celle-ci, qui était filleule et favorite de Louis XII ; sa mort à quinze ans ; son aventure avec un cordelier amoureux d’elle, 34-36. Sa sœur Anne, filleule de la reine Anne, la remplace il la cour et épouse le baron de Maumont, 36-37. François de Bourdeille est rappelé par ses parents ; comment il s’échappe d’auprès d’eux pour s’en aller au royaume de Naples où il reçoit bon accueil ; paris que lui fait gagner son habileté comme cavalier ; est blessé à la bataille de Garigliano ; estime que Bayard faisait de lui, 39-40 ; se distingue dans la guerre de Romagne ; est pris en amitié par le pape Jules II ; ses aventures au jeu avec lui ; bulle qu’il en obtient lui permettant de manger du beurre en carême, 41-43 ; est blessé à la bataille de Ravenne ; rentre en France ; mort d’Anne de Bretagne ; est bien accueilli de Louis XII ; équipage et gens qu’il ramène avec lui ; son maître palefrenier qui meurt centenaire, 44 ; assiste à la bataille de Marignan ; son amour de l’indépendance lui fail refuser une charge de lieutenant de cent hommes d’armes ; revient en France avec M. de Bourbon, 44-115 ; son mariage avec, Anne de Vivonne, fille d’André de Vivonne, sénéchal de Poitou, 44-45 ; dot de celle-ci ; ses riches habillements ; fêtes pour ses noces, 45-49. F. de Bourdeille va servir en Italie sous Lautrec ; son combat contre un capitaine espagnol ; sa générosité ; donne leur premier cheval de guerre à MM. de Burie, d’Essé et de Saint-Martin ; leur respect et leur reconnaissance pour la maison de Bourdeille, 51-53 ; assiste à l’entrevue d’Ardres ; Louise de Savoie lui défend de combattre dans le tournoi ; comment il y figure ; ses prouesses, 53-54 ; es emmené en Angleterre par Henri VIII qui lui fait des cadeaux, 54-55 ; son entretien à ce sujet avec François Ier, 55. Il expédie des chiens de chasse par son laquais La Souche au roi d’Angleterre qui lui envoie en présent une guilledine ; ce que le bonhomme Feu raconte à Brantôme sur ce La Souche. F. de Bourdeille assiste à la bataille de Pavie|page= 56-57}}

III. Oraison funèbre de feu madame de Bourdeille faicte par moy, seigneur de Brantôme, son beau-frère, 59-73.

{{table|titre= Généalogie de la maison de Montberon, 59 et suiv. ; le