le grand ciel d’hi-ver, J’ai d’un cô-té la plai-ne, De l’autre j’ai la mer
le grand ciel d’hi-ver, J’ai d’un cô-té la plai-ne, De l’autre j’ai la mer
le grand ciel d’hi-ver, J’ai d’un cô-té la plai-ne, De l’autre j’ai la mer
Cresc.
CHŒUR à 4 parties.
J’ai d’un cô-té la plai-ne, De l’autre j’ai la mer !
J’ai d’un cô-té la plai-ne, De l’autre j’ai la mer !
J’ai d’un cô-té la plai-ne, De l’autre j’ai la mer !
J’ai d’un cô-té la plai-ne, De l’autre j’ai la mer !
Le mode hypophrygien dans lequel est construite cette mélodie se distingue du majeur en ce
que son caractère expressif a quelque chose de plus contemplatif et de plus inspiré. Le majeur
dans sa terminaison présente toujours un sens fini ; l’hypophrygien, dépourvu de note sensible, ne
conclut pas. Son sens reste comme suspendu ; par cela même il se prête mieux que le majeur à
l’expression de l’illimité et de l’infini.
Chantée par Jacquette Lebrun
Pédernec