Page:Bourget - Laurence Albani, Plon-Nourrit.djvu/161

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si elle épousait Pierre. Elle voyait, avec une netteté presque hallucinatoire, la célébration du mariage, ses parents et cette femme à côté les uns des autres. Elle comprenait quels éléments de réciproque souffrance développerait le contact intime des deux familles, et, malgré elle, une plainte lui sortait du cœur, non pas contre, mais vers lady Agnès. – C’était donc à cela qu’elle avait été menée !