Page:Bourget - Pauvre petite !, 1887.djvu/99

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les avaient reçus, car ils étaient parents.

Il les avait gardés quelque temps chez lui, à peu de distance de cette ville, et le souvenir de ce séjour lui était resté présent, comme un de ces rêves auxquels on s’attarde quand le réveil est venu !

Elle racontait souvent qu’il y avait réellement une grande poésie dans cet endroit privilégié de la nature : l’habitation était simple, mais les palmiers, les orangers, les citronniers, les musas et autres arbres de ces pays ensoleillés, rivalisaient de