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XVI


Me voilà, mon cher de Coubertin, au bout de la tâche que je m’étais imposée, au fur et à mesure que je lisais votre étude sur les Canadiens-Français.

Vous avez jugé trop sévèrement une nationalité dont les qualités l’emportent de beaucoup sur les travers.

Il m’appartenait de la défendre à plus d’un titre : comme ami, d’abord, puis comme mari d’une Canadienne, et père d’enfants qui seront fiers, un jour venant, de leur double titre de Français et de Canadiens.