Page:Boutmy, Jouin - Protocols des Sages de Sion - Revue int. soc. secretes, 1920.djvu/113

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


Vingt-deuxième séance


01 Pour que les hommes s’habituent à l’obéissance, il faut les élever dans la simplicité qui engendre la mansuétude. C’est pourquoi nos lois limiteront la production des objets de luxe qui énervent et excitent l’envie. Par là, nous améliorerons les mœurs corrompues par les rivalités que fait naître le luxe.

02 Nous rétablirons la petite industrie, ce qui ôtera de l’importance aux gros fabricants trop enorgueillis par d’énormes gains et qui agitent souvent l’esprit des masses contre nous.

03 Le principal avantage de cette mesure, c’est qu’un peuple qui possède la petite industrie ne connais pas le chômage ; il s’attache à l’ordre et à un pouvoir ferme dont la tâche est de protéger chacun de ses sujets contre les difficultés que pourrait lui créer autrui.

Il est avéré qu’il n’y a pas de pire danger pour un gouvernement que le chômage. Nous sommes convaincus qu’il n’en sera plus question dès que le pouvoir passera ouvertement entre nos mains.

04 L’ivrognerie sera également interdite par la loi et punie comme crime contre la dignité humaine, que l’alcool avilit jusqu’à la bestialité.