Page:Boutmy, Jouin - Protocols des Sages de Sion - Revue int. soc. secretes, 1920.djvu/99

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

les goyim en sapant leur appareil gouvernemental — qu’ils préféreront accepter tout ce que nous leur imposerons plutôt que courir le risque de retomber dans les tourments de la misère ; d’autant que nous insisterons surtout, dans nos critiques publiques, sur les erreurs des gouvernements goyim qui ont fait souffrir l’humanité pendant des siècles, parce qu’elle ne comprenait pas le vrai bonheur et allait constamment à la recherche d’améliorations sociales fantaisistes, sans s’apercevoir que ces améliorations, tout en apportant du bien-être à quelques-uns, étaient nuisibles à l’ensemble et au bon ordre du régime, qui est en somme la base même de l’existence humaine.

Nos principes et nos mesures auront à leur actif le fait qu’ils seront interprétés et présentés comme faisant contraste avec l’ancien régime pourri des temps passés.

02 Nos philosophes discuteront et critiqueront toutes les lacunes des croyances des goyim ; mais les goyim ne pourront en faire de même à l’égard de notre religion, car personne n’en connaît les secrets, sauf nos talmudistes et nos rabbins, et ceux-là ne les trahiront jamais, parce que c’est en eux que réside toute la force de notre pouvoir sur nos ouailles.

03 C’est surtout dans les pays dits avancés que nous avons créé une littérature stupide, ordurière et répugnante. Nous ne l’interdirons pas dès notre avènement au pouvoir, mais nous la déracinerons peu à peu par une critique sévère, afin qu’elle ne demeure que comme un reste des ruines des goyim