Page:Boyer d’Argens - Lettres juives, 1754, tome 2.djvu/15

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depuis peu de jours avec ma famille, j’eusse accepté avec grand plaisir la place de votre chancelier. Mais vous ne manquerez pas d’illustres personnages pour la remplir ; & je vous promets que j’aurai soin de m’informer de tous les gens qui pourroient mériter cet emploi, & d’en instruire exactement VOTRE MAJESTE.


Je suis avec un profond respect, SIRE, DE VOTRE MAJESTE POSTICHE,

Le très-humble & très obéissant serviteur,

Le traducteur des LETTRES JUIVES.

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