Page:Boylesve - Le Parfum des îles Borromées, 1902.djvu/41

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au loin l’Isola Madre, la plus grasse et la plus opulente des îles, avec sa végétation et son palais couleur de chair, qui flamboyait, par la grâce d’un dernier rayon, dans la magnificence des couleurs de l’automne.