VIII
Si l’étude qu’on va lire ne doit rien aux cours universitaires, par contre elle doit beaucoup aux suggestions aussi claires que pénétrantes que M. K. R. Gallas, Maître de Conférences à l’Université d’Amsterdam, lui a prodiguées avec un zèle et un dévouement dont je garderai toujours le plus vif souvenir.
En outre je tiens à adresser mes remerciements sincères à M. le Professeur J. J. Salverda de Grave de l’intérêt qu’il a bien voulu prendre à une thèse « moderne», dont la hardiesse et la nouveauté auraient pu justifier certains scrupules académiques que, — je m’estime heureux de le constater ici — l’éminent professeur de philologie romane ne partage pas.
Oserai-je exprimer ici ma reconnaissance profonde
envers M. le Professeur J. J. A. A. Frantzen
d’Utrecht, dont la bonne amitié m’a soutenu et
encouragé en des moments difficiles ? Enfin, je ne
me pardonnerais pas d’oublier le gracieux accueil
que j’ai trouvé auprès deMe A. Bouger qui,
avec l’exquise bienveillance que l’on sait, a mis
à ma disposition l’ editio princeps des Cahiers d’André Walter ouvrage entièrement épuisé, et
que peut-être des scrupules délicats ont empêché
l’auteur de faire réimprimer.