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Page:Brandimbourg - Croquis du vice, 1897.djvu/206

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CROQUIS DU VICE

il émanait le benjoin, il jaillissait le sentement de la rose ! et je étais énivré comme par le pale ale… je embrassais Jenny : Oh ! le râpement du pêche ! Je embrassai encore la petite femme et je dis à elle : « Je allai faire goûter à vô le douceur du amour légitime béni par le clergyman dans le temple du Dieu omnipotent… Savez-vous, Jenny ? » Jenny savait pas. Moâ non plus. Mais je avais, avant de entrer dans le temple, demandé au père de moâ le éclaircissement du devoir époustal.

Comme encore plus je embrassai Jenny, elle dit : « Vô énervez moâ. Yes ! je étais aussi dans le énervement. Et, je criai : « Milady !… » Milady répondit : « Vô, il était ’nbécile » et tournait son dos du côté de moâ… Je comprenai : Milady qui était si bôcoup énormément enthousiaste pour le amour, il avait son humeur vexé parce qu’il ne savait rien. Aussi, dans le dedans de moâ, je riai fort et dis à Milady : « Tournez le jolie figuioure de vô du côté du tête à moâ. » Comme Mylady ne tournait rien