Page:Brisset - Le mystère de Dieu est accompli.djvu/142

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

= prends et part. Parte îs-cipe ai, participer. L’ha parte îs-cule, la particule. Peux à-re-ture, y c’ist on ; par ture ici hon, parturition. Peux has, pas. Pas à-pas. Pour prendre, l’ancêtre venait pas à pas, quand il craignait. Pas ce à-bleu, passable. Peux à-ceu y hon, passion. Pas ce t’heu eù-reu, pasteur. Pos ce t’heu îs-cheu, postiche. Paie au-jeu ai, paie eau j’ai, pate au jet, pate auge ai, patauger. Peux à-terne y t’ai, paternité. Peux à-scie hen ce, peux à science, patience. Ton pate où est ? ton patois. Peux à-teure his, patre ist, patrie. Patrie = batterie. La première patrie était une femelle ; tous voulaient la servir et l’asservir. La seconde fut une simple pâture ; la dernière doit être toute la terre. Peux às-ture ai, pâturer. Peux au-vreu t’ai, pauvreté. Peu ait ch’ai, peux èz-cheu ai, péche ai, péché. Le sucement devint un péché. Pène à-leu y t’ai, pénalité. Péne ès-treu, pénètre. Péne îs-bleu, pénible. Péne îs-teu hens ce, pénitence. En-péne y tends-ce, en pénitence. Péne on-breu, pénombre. Peux en-ceu, pense, panse. L’appel vers la panse faisait penser le prudent. Satan n’aime pas qu’on pense. Il ne laisse aucun repos à ceux qui le servent. Père ce ai, percer. On perçait pour prendre. Le à-père féque ce y hon, la perfection. Père îs-reu, périre. Peux ès-reu m’heu, père m’heu, perme, per me = pour moi. Père m’heu ès-treu, per me être, permettre. Perme îs-scie hon, permission. Le à-père séque, us ce y hons ; là, per ce, écu c’ist, ons ; la persécution. Père ce îs-fleu, ait ; persifler. Le à-père sice, tends-ce ; la persistance. Père-ce on-neu, personne. Appel de qui offrait son sexe ou sa personne en feu et ne voyait personne venir le soulager. Peux eù-pleu, peuple. Peux eù-pleu y ai, peut plier, peuple ist ai, peuplier. Le peuplier peut plier, c’est l’arbre du peuple. Qui monte à son sommet s’y croit en sûreté : la tige se rompt et la grosse bête