Page:Brizeux - Œuvres, Histoires poétiques III-VII, Lemerre.djvu/121

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Assis dans son foyer, les pieds sur le tison,
Voilà ce que contait un vieux chef de maison.
Il reprit : « Fuyez donc, mes enfants, la satire ;
Mais aimez la gaîté sans fiel, aimez le rire,
Tel qu’il brille à cette heure, Héléna, dans vos yeux
La gaité d’un bon cœur rend tous les cœurs joyeux. »