Page:Brizeux - Œuvres, Les Bretons, Lemerre.djvu/84

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L’ombre les a couverts ; telle que la rosée,
Leur voix tombe sans bruit par la route boisée.

Mais au loin vibre encor le son clair du biniou ;
« Iou ! » criaient des danseurs ; d’autres répondaient : « Iou !
Ô danses ! cris de joie ! ivresse du bel âge !
La joie est dans le bourg, elle est sous le feullage.