Page:Broglie - Souvenirs, 1785-1817.djvu/112

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

J’y suis retourné depuis, et je ne l’ai pas trouvé dans un pareil état de splendeur.

En traversant Turin, j’allai voir mon cousin, M. Alexandre de Lameth, qui y était alors préfet, et je revins à Paris par le mont Cenis et Lyon vers le printemps de 1810.