Page:Brontë - Les Hauts de Hurle-Vent, 1946.djvu/364

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

sur l’état réel, tant physique que moral, de Linton. Je partageais ces doutes, bien que je lui conseillasse de n’en pas trop parler : une seconde rencontre nous permettrait de mieux juger. Mon maître réclama le détail de ce que nous avions fait. Miss Catherine lui transmit fidèlement les remerciements de son neveu et glissa légèrement sur le reste. De mon côté, je ne fournis que peu d’aliments à sa curiosité, car je ne savais trop ce qu’il fallait cacher et ce qu’il fallait révéler.