— E. Leclerc barre d’une ligne horizontale terminée à chaque extrémité par un trait vertical :
les mots ou lettres à « nettoyer » ; dans la marge, la correction est figurée par les deux traits horizontaux, avec les points, accompagnés d’un signe de renvoi :
— E. Desormes enferme dans un rectangle les « lettres à nettoyer » et les « lettres écrasées » (voir p. 320) :
le rectangle est reporté dans la marge, avec, en son milieu, les points :
dans le premier exemple aucun signe de renvoi n’est exprimé après la correction ; le signe de renvoi figure au deuxième exemple du protocole.
— H. Fournier et L. Chollet utilisent les deux traits horizontaux dans le texte et dans la marge :
mais l’explication placée en regard est libellée « à niveler » : le mot, se trouvant légèrement haut, a été empâté au tirage ; le trait de renvoi n’est pas utilisé dans la marge.
— Dans le texte Didot enserre entre deux traits horizontaux les « lettres à nettoyer » ; puis dans la marge il inscrit la ligne de points entre deux filets tremblés ; il omet le signe de renvoi.
— L’Agenda Lefranc emploie dans le texte et dans la marge les traits tremblés.
— Tassis et Breton n’ont indiqué dans le texte, ni par un renvoi, ni par un signe quelconque, la ou les « lettres à nettoyer » : sans doute ont-ils voulu seulement mentionner la correction, sans rien autre chose ; dans la marge ils figurent ainsi la correction :
Tassis :
Breton :