En principe, le correcteur doit exécuter sa correction de manière que les petits traits horizontaux placés aux extrémités des traits verticaux (n° 75 et n° 76) soient situés exactement face à l’endroit à occuper par le texte, la correction régulièrement exécutée.
Le correcteur peut modifier l’annotation en indiquant le nombre de points dont l’addition doit être déplacée :
— Ces signes (nos 75 et 76) dérivent, on peut l’affirmer, de la correction « ligne à chasser », « ligne à regagner » (nos 68 et 69), utilisée pour les remaniements de mise en pages.
— Seul le protocole de Th. Lefevre donne le signe du numéro 75. Les autres auteurs ne signalent pas l’emploi des signes des numéros 75 et 76.
77. Ligne à mettre au milieu :
Ces signes , sont reportés dans la marge, accompagnés d’un trait de renvoi, avec l’indication :
entourée d’un trait, — ou bien les mots :
entourés d’un trait sont seuls placés en marge.
— Pour cette correction, dont un seul manuel typographique fait mention, Daupeley-Gouverneur utilise les signes suivants :
Le signe de droite, qui limite approximativement la rentrée indiquée,