du premier vers de l’alinéa, ou par un blanc entre le dernier vers de l’alinéa précédent et le premier vers de l’alinéa qui commence :
Tu pourras me répondre après tout à loisir :
Sur ce point seulement contente mon désir.
Je vous obéirai, seigneur.
De garder ta parole, et je tiendrai la mienne.
Tu vois le jour, Cinna ; mais ceux dont tu le tiens
Furent les ennemis de mon père et les miens !
Au milieu de leur camp tu reçus la naissance…
11. Dans les vers de mesure inégale, on ne saurait, par crainte de la confusion qui en résulterait, se préoccuper de cette règle : le renfoncement indiquerait en effet que le nombre de syllabes est erroné.
12. Lorsque la poésie est divisée en strophes, en couplets, etc., chaque strophe, chaque couplet s’indique par une ligne de blanc, même si la strophe ne finit pas par un point :
Tu seras plus heureux que moi !
Car je te destine à ma Rose,
Et ma Rose est, ainsi que toi,
Bouton de rose.
Au sein de Rose
Tu pourras trouver un rival ;
Ne joute pas, bouton de rose,
Car, en beauté, rien n’est égal
Au sein de Rose.
Au sein de Rose,
Heureux bouton, tu vas mourir ;
Moi, si j’étais bouton de rose,
Je ne mourrais que de plaisir
Au sein de Rose.
13. Si l’alinéa littéraire finit au milieu de la strophe, il n’est pas indiqué par le renfoncement ; le premier vers de chaque strophe prend