CHAPITRE V
LE FRANÇAIS ET LES PETITES ÉCOLES.
Les écoles au XVIIe siècle, 32-33. — Caractère religieux des écoles, 33-34. — La Révocation de l’Édit de Nantes et la multiplication des écoles, 34-35. — L’école obligatoire, 35-36. — Le personnel des écoles, 36-37. — Ignorance des maîtres, 37-38. — Les maîtres d’école et la langue française, 38-39. — L’apprentissage de la lecture en latin, 39-41. — Un précurseur : Behourt, 41. — La lecture en français à l’Oratoire et à Port-Royal, 41-43.
CHAPITRE VI
RÉSULTATS : LE FRANÇAIS DANS LES VILLES ET LES VILLAGES.
Le français à Marseille et en Provence, 44-45. — Autres exemples d’ignorance, 45-46. — Le français dans les écritures. Insuffisance des documents, 46-48. — L’usage courant dans les campagnes, 48-49.
CHAPITRE VII
DANS LES COLLÈGES ET LES FACULTÉS.
A. L’enseignement en français.
Un prophète : Cl. Fleury, 50-52. — Le français hors de la classe, 52-54. — Le français pénètre les classes enfantines, 54-55. — Renouvellement de la pédagogie par Port-Royal, 55-56. — Adhésions et résistances, 56-57. — Les livres de classe, 57-58. — Médecine, pharmacie et droit, 58-60.
B. L’enseignement du français.
Protestations et suggestions des grammairiens, 60-61. — Quelques timides essais, 61-62. — Premiers pas en avant, 63-64. — Conclusion : Un âge nouveau s’annonce. Il n’a pas commencé, 64-65.
CHAPITRE VIII
CONFÉRENCES, CERCLES ET SALONS.
La vie de société, 66. — Cours et conférences en ville, 66-67. — Les livres. Rôle effacé des grammaires, 67-68. — En province. Ignorants et retardataires, 68-69. — Précieux et puristes de province, 69-70. — Sociétés et groupes, 70-71.
