unique, infinie, d’une Toute-Puissance qui a créé, et qui maintenant conserve ce Grand Tout dans sa beauté et dans sa perfection. De là nous conclurons que si des créatures d’un degré aussi inférieur dans la grande échelle de la nature ont été ainsi douées de facultés qui leur permettent de remplir leur sphère d’action d’une manière aussi complète, nous pareillement, qui avons été placés à tant de degrés plus haut, nous nous devons, et à Lui qui nous a faits, nous et tout ce qui existe, de tendre sans cesse et de tous nos efforts vers ce degré de rectitude et de perfection auquel nos facultés nous donnent le pouvoir d’atteindre.» — Ellis, on Corallines, p. 103.
L’histoire des végétaux fossiles, dans ses rapports avec l’objet du présent ouvrage, demande à être considérée sous un double point de vue. Le premier se rapporte à l’influence qu’exercent sur la condition actuelle de l’espèce humaine les plantes maintenant converties en charbon fossile, qui revêtirent la surface ancienne du globe[1] : nous avons déjà exposé briè-
- ↑ Voy. chap. VII, p. 55.