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chaque article, dont cinq intérieures, et cinq extérieures aux rayons ou pétales.
Fig. 14. Un des plus grands bras auxiliaires ; quelques uns de ces bras, les plus grands, contiennent plus de cent articles. (D’après Goldfuss.)
a, b, c représentent des articles de formes différentes, et pris sur des points différens des bras latéraux, avec les surfaces articulaires parfaitement disposées.
Fig. 15, 16. a, 6 etc. Diverses modifications des surfaces articulaires des pièces qui constituent les doigts et les tentacules. (Goldfuss, pl. 51.)
Fig. 17. Extrémité grandie de l’un des tentacules. Les deux derniers articles constituent une paire de pinces très délicates, destinées à saisir la proie. (D’après nature.)



Planche 54, t. 1, p. 387.


Fig. 1. Caryophyllia arbuscula. Grand, nat. Avec les animaux épanouis. (Mém. du Musée d’hist. nat., t. VI, pl. 15, fig. 2.)
Fig. 2. Animal de la fig. 1, grossi et vu en dessus.
Fig. 3. Section verticale de la cellule d’une Meandrina labyrinthica, avec l’animal. (Mém. du Musée d’hist. nat., t. 6, pl. 16, 10 b.)
Fig. 4. a Actinie commune, ou anémone de mer épanouie — b. la même, contractée dans ses tégumens. (Encyclop. méthod., pl. 72, 6[1].)
  1. Cet animal n’a pas de cellules calcaires, mais se contracte dans un sac charnu coriace, voir fig. 46. Les tentacules sont représentés épanouis en a. Quelques uns de ces polypes offrent la même richesse de couleurs brillantes qu’un grand nombre de ceux qui se construisent des cellules calcaires persistantes.